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Questions à poser sur le dépistage du cancer de la prostate
Avant de parler à votre médecin, commencez d’abord par recueillir un maximum d’information sur vos antécédents familiaux de cancer de la prostate. Il est utile de savoir si votre père, frère ou fils a déjà eu un cancer de la prostate. Si oui, quel âge avaient-ils lorsque la maladie a été diagnostiquée?
Questions à poser à votre médecin
- Quel est mon risque de développer un cancer de la prostate?
- Puis-je faire quelque chose pour réduire ce risque?
- Quels tests devrais-je passer, s’il y a lieu?
- À quelle fréquence devrais-je passer ces tests?
- Quels seraient pour moi les avantages d’une analyse de l’APS et d’un toucher rectal?
- Quels seraient pour moi les risques d’une analyse de l’APS et d’un toucher rectal?
- Si mes résultats sont normaux, que se passe-t-il ensuite?
- Si mes résultats ne sont pas normaux, que se passe-t-il ensuite?
- Dois-je payer pour ces tests? Si oui, combien?
Questions à vous poser à vous-même
Votre médecin est là pour vous fournir toute l’information nécessaire, mais vous seul êtes en mesure de décider pour vous-même. Vous voudrez peut-être réfléchir à ces questions :
- Que choisirais-je de faire si mon taux d’APS s’avérait élevé?
- Que ferais-je si des tests plus poussés révélaient la présence d’un cancer de la prostate de stade précoce?
- Serais-je à l’aise si je me savais atteint d’un cancer de la prostate qui ne nécessite pas de traitement actif (chirurgie, médicaments, radiothérapie) immédiatement? Cela provoquerait-il un stress trop important?
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