La SCC s’adapte aux réalités de la COVID-19 afin de soutenir les Canadiens pendant et après la pandémie
Risque de récidive du cancer de la prostate
Les médecins peuvent classer le cancer de la prostate en fonction de son risque de récidive (réapparition) après le traitement. Ils utilisent les niveaux de risque suivants pour concevoir les plans de traitement. On propose habituellement un traitement agressif aux hommes dont le risque est élevé. Ceux dont le risque est faible pourraient se voir offrir une surveillance active sans recevoir immédiatement de traitement.
Les niveaux de risque sont déterminés en fonction des éléments suivants :
- caractéristiques de la tumeur (T)
- taux d’antigène prostatique spécifique (APS)
- cote de Gleason
Niveau de risque | Tumeur (T) | Taux d’APS (ng/mL) | Cote de Gleason |
---|---|---|---|
Risque faible | T1 ou T2a | inférieur à 10 | 6 ou moins |
Risque moyen | T2b ou T2c | entre 10 et 20 | 7 |
Risque élevé | T3 ou T4 | supérieur à 20 | 8, 9 ou 10 |
Apprenez-en davantage sur la stadification du cancer de la prostate (y compris les caractéristiques de la tumeur), le test de l’APS et la classification histologique du cancer de la prostate (y compris la cote de Gleason).
Traitement constitué de tests qu’on effectue souvent selon un horaire régulier afin de surveiller étroitement un cancer qui évolue lentement. Le but de la surveillance active est d’aider la personne à maintenir une bonne qualité de vie tout en retardant le plus longtemps possible l’administration de traitements qui risquent de causer des effets secondaires. Quand les résultats de tests indiquent que le cancer s’aggrave, on propose des traitements comme la chirurgie ou la chimiothérapie.
Histoires
Quel est le risque à vie d’avoir le cancer?

Selon le plus récent rapport Statistiques canadiennes sur le cancer, environ la moitié des Canadiens pourraient recevoir un diagnostic de cancer au cours de leur vie.