Classification histologique du cancer des os
Le grade est défini par l'apparence des cellules cancéreuses qu'on compare à celle des cellules normales. Pour établir le grade du cancer des os, le pathologiste examine au microscope un échantillon de tissu prélevé dans l’os. Le pathologiste détermine si le cancer des os est de bas grade ou de haut grade, soit de grade 1 à 3 ou 1 à 4, selon le système de classification histologique employé. Plus ce nombre est bas, plus le grade l’est aussi.
Connaître le grade donne à votre équipe de soins une idée de la rapidité à laquelle le cancer peut se développer et de sa probabilité de propagation. Cela l’aide à planifier votre traitement. Le grade peut aussi aider l’équipe de soins à déterminer l’issue possible de la maladie (pronostic) et à prévoir comment le cancer pourrait réagir au traitement.
On utilise le terme différenciation pour désigner à quel point les cellules cancéreuses sont différentes. Pour le système à 2 grades, on utilise les catégories suivantes :
Les cellules cancéreuses de bas grade sont bien différenciées. Elles ont presque l’air de cellules normales. Elles ont tendance à se développer lentement et risquent moins de se propager.
Les cellules cancéreuses de haut grade sont peu différenciées ou indifférenciées. Leur apparence est moins normale, ou plus anormale. Elles ont tendance à se développer plus rapidement et sont plus susceptibles de se propager que les cellules cancéreuses de bas grade.
On peut employer 2 autres systèmes de classification histologique pour le cancer des os.
Grade | Description |
---|---|
1 | Bien différencié ou modérément différencié, ou de bas grade |
2 | Peu différencié, ou de haut grade |
3 | Indifférencié, ou de haut grade |
Grade | Description |
---|---|
1 | Bien différencié, ou de bas grade |
2 | Modérément différencié, ou de bas grade |
3 | Peu différencié, ou de haut grade |
4 | Indifférencié ou de haut grade |
Ensemble, nous pouvons réduire le fardeau du cancer

L’an dernier, avec les fonds dont nous disposions, nous avons réussi à financer seulement 40 pour cent des projets de recherche considérés comme de grandes priorités. Imaginez l’impact que nous pourrions avoir si nous étions capables d’en financer 100 pour cent.